Le vaste travail de Boaventura de Sousa Santos est imprégné de son indignation face aux différences socio-économiques entre les territoires et entre les peuples. « La loi des opprimés », l’un de ses livres, montre à quel point la démocratie et la justice sont éloignées du droit formel. « Mondialisation : malheur ou utopie ? Un livre avec une série d'articles organisés par Boaventura montre comment la mondialisation, avec son visage pervers, a créé et élargi les frontières abyssales entre les peuples. La lecture de l’œuvre de Boaventura est donc essentielle pour quiconque souhaite comprendre le processus d’inégalité aux niveaux local et mondial.
La revue présentée dans ce texte s'appuie sur l'une de ses conférences où il propose une réflexion sur les droits de l'homme et la démocratie. Si beaucoup ont déjà lu votre travail, ma proposition ici est de réfléchir à votre discours, dans lequel je fais des commentaires sur les sujets abordés lors de la conférence, en tenant compte du ton de votre voix et de votre expression faciale, que l'on peut difficilement comprendre dans les livres. Par conséquent, la proposition est de lire ce que Boaventura de Sousa Santos a dit et que vous n’avez pas lu.
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